Reine des twittos, Valérie Trierweiller a répondu samedi aux rumeurs liées à sa fameuse photo publiée il y a quelques semaines dans un magazine japonais. Accusée d’avoir touché le jackpot, 4000 euros, elle affirme avoir reçu beaucoup moins et reversé les gains à une association.
Valérie Trierweiller n’a pas toujours choisi de se retrouver au devant de la scène médiatique, mais depuis ses fracassantes révélations littéraires dans Merci pour ce moment, elle l’assume plutôt bien. Elle se met en scène d’elle-même, comme récemment dans le magazine nippon Richesse, en couverture duquel elle posait, blonde et retouchée, méconnaissable. Comme il fallait s’en douter, la photo n’est passée inaperçue. D’aucuns s’en sont pris au logiciel de correction photo, d’autres ont visé la chirurgie esthétique et certains plus pragmatiques se sont intéressés à ce que ces clichés avaient pu lui rapporter. L’ex-première dame va au-devant des spéculations.
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Tandis que le journal 20 minutes prétend que Valérie Trierweiller a ainsi été payée quelques 4000 euros pour cette séance photo un peu spéciale, l’intéressée n’a pas trainé pour retweeter le papier en question et y apporter quelques précisions, claires et efficaces, mais peut-être un peu sèches: “Non 800 euros pour cette séance. Totalement versés au Secours populaire. Merci de rectifier.”
Ce n’était pas la première fois que la journaliste réagissait aux propos liés à ce shooting. tandis qu’elle était moquée partout sur la Toile pour les retouches grossières dont elle avait été victime, elle avait d’abord tweeté en plus de ses remerciements pour son coiffeur un amer “#j’ai50ansetjelesais”. Un peu plus tard, photographiée en train de se déhancher près de la Tour Eiffel, elle légendait: “Hé les amis, j’ai 50 ans mais je suis en forme! Attention photo réalisée sans trucage et sans Photoshop.” Rien à redire.